MATOMBA S.E fait une déclaration sur les relations Russo-africaines au SPIEF 2024

[Vitrine du Cameroun] Prenant part au Forum Economique International de St-Pétersbourg, le Premier Secrétaire du Peuple Uni Pour La Rénovation Sociale salue le réveil africain face aux changement géopolitiques actuels. Pour lui, dans la formation du monde multipolaire, le Continent africain et la Russie ont mutuellement besoin l’un et de l’autre.

« LA RUSSIE A AUTANT BESOIN DES PAYS AFRICAINS, QU’ILS ONT BESOIN D’ELLE » MATOMBA Serge Espoir

A St-Pétersbourg, l’homme politique confie avoir constater une volonté de Moscou de montrer la voie aux pays africains. La voie contraire à celle de l’injustice, à la surexploitation et les tentacules du néocolonialisme prônée par le bloc de l’Ouest. Le 27e forum économique international le témoigne à suffisance selon le Premier Secrétaire au travers de ses thématiques et ses sessions plénières qui portaient sur : « Economie russe : objectifs et mission d’un nouveau cycle » ; « Les technologies assurant une position de leader » ; ou encore « Le passage au modèle multipolaire de l’économie mondiale » ; « Société saine, valeurs traditionnelles et développement social sont les priorités de l’Etat. »

L’EXPERIENCE ET LA RESILIENCE DE LA RUSSIE SONT A PRENDRE EN EXEMPLE

« Avec ce qui nous est présenté ici en Russie, des solutions peuvent être adoptées par nos pays africains qui souffrent encore de délestages à outrance et de difficultés d’approvisionnement en eau potable ; des ressources pourtant indispensables au développement. Se servir de l’expérience et des technologies russes, nous permettrait d’attendre une meilleure fourniture en énergie. » Estime Matomba S.E, ainsi ce Forum économique international de St-Pétersbourg (SPIEF2024) est une aubaine pour nouer des partenariats « win-win » sur les plans énergétique et miniers.

Présent au Sommet Russie-Afrique des 27 et 28 juillet 2023, l’homme politique averti rappelait déjà que les pays africains devaient saisir l’opportunité de sortir de l’esclavage économique, sécuritaire et culturel occasionné par « cette camisole de force du néocolonialisme », insistant sur le fait que de nouveaux partenariats dans ces domaines avec la Russie et les autres pays du bloc de l’Est seraient un énorme pas vers la souveraineté.
« Il vaut mieux pactiser avec des amis à qui on connait une politique de non-ingérence, que de poursuivre avec des partenaires qui donnent jours et nuits des injonctions à nos dirigeants et maintiennent les peuples dans l’obscurité. » martelait l’homme politique au penchant très panafricaniste.

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